De retour

Avec un peu de retard, très bonne année à tou(te)s, à très vite dans les salles obscures 🦉

Après un mois de pérégrinations au Japon, nous sommes rentrés dans le Sud-Ouest courant novembre. Ca a été un voyage extrêmement riche en rencontres, nouvelles expériences et liens d’amitié.
On salue d’abord évidemment Lucas Vernier qui nous a accompagné tout du long, Mariya Tabe qui a bossé sur les orgas de Fukuoka, Okinawa et Tokyo, Livehouse daisakusen Europe qui nous ont permis un magnifique moment dans le Tohoku, Jun Minowa et Dewfall Records avec qui on a enfin réussi à coordonner sortie de disque et tournée, ainsi que toutes les organisations, les personnes qui nous ont aidé, et toutes celles qui sont venues à nos concerts ou croisées sur la route.
On va forcément oublier du monde, ne nous en veuillez pas, mais coucou : Eric Tours et Naoko Ban, Vincent Lefrançois et l’Institut français du Kyushu 九州日仏学館, UNION SODA, Daiho Soga, Shiro Kodera, 桜坂劇場, Masakazu Sumitomo, Music Bar Hokage, Sano, Jun Lamborghini, Club SONIC iwaki, Keizou Mikata, 宮古KLUB COUNTER ACTION MIYAKO, Ota-san, Maison Petit Renard(メゾン プティ ルナール), Thibaud & Shiori, Kichi Gallery, Ryuta Iwai, 七針, Gargle, et tous les artistes qui ont partagé la scène avec nous ❤️❤️❤️

Peut être une image de 5 personnes, accordéon et foule
Photo : Masakazu Sumitomo

Vidéo

///English below///
Plus qu’un concert dessiné, en fait cette vidéo est la mise en oeuvre, il y a 4 ans, de notre nouvelle façon d’aborder notre pratique, avec l’assimilation de la notion très japonaise de « mono no aware », ou « choses propres à émouvoir », définie comme un sentiment éphémère comprenant une certaine forme de mélancolie, de regret non exprimé, et découlant de l’impermanence des choses.
C’est quelque chose sur lequel nous travaillions déjà, mais la recherche sur cette performance-là nous a permis de renforcer notre cohésion sans perdre nos personnalités individuelles dans nos pratiques respectives.
Et notre dernier spectacle en date est le prolongement direct de cette recherche, c’est pourquoi nous trouvions intéressant de publier aujourd’hui cette vidéo.
Musique : tAk/Takuma Léo Shindo
Dessin : Adrien Demont

///English///
More than a drawing concert, this video is in fact the implementation, 4 years ago, of our new way of approaching our practice, with the assimilation of the very Japanese notion of « mono no aware », or “things capable of moving”, defined as an ephemeral feeling including a certain form of melancholy, of unexpressed regret, and arising from the impermanence of things.
It’s something we were already processing on, but working on this performance allowed us to strengthen our cohesion without losing our individual personalities in our respective practices.
And our latest show is a direct extension of this research, which is why we found it interesting to publish this video today.

Music : tAk/Takuma Léo Shindo
Dessin : Adrien Demont

À la toute fin du monde

On est très content de vous montrer enfin ce clip !
N’hésitez pas à nous dire ce que vous en pensez et à le partager.

L’ambiance des concerts dessinés est extrêmement difficile à rendre en vidéo, mais JB et Marie ont su trouver le langage visuel adéquat pour mettre en images cette espèce de bulle musicale et visuelle dans laquelle on essaye d’emmener les spectateurs.
Vraiment un grand merci à eux !

Le titre du morceau est inspiré d’un poème de Geneviève Castrée.
Le morceau est une version « courte » d’un morceau du prochain album de tAk.

Les images ont été tournées chez les Vivres de l’Art en novembre 2019 lors de nos représentations en ouverture du Cirque du Tailleur.

Musique : tAk
Dessins : Adrien Demont
Réalisation : JB Deucher et Marie Catry de la Team Lovebirds